6 août 2012

Deux moins un, et après?

J'avais prévu un tout autre sujet pour ce billet. Nombreux lecteurs, n'ayez crainte... j'y reviendrai bien assez rapidement. Ce soir, je n'ai pas pu résister à l'appel de l'instant présent, état d'esprit qui ne m'habite que peu souvent.

Depuis le début de l'été, j'habite une ville où je ne connais personne, dans une maison où, sans l'avoir voulu, l'amoureux et moi ne faisons que nous croiser. Comme le dit l'expression, les jours se sont suivis et se sont ressemblés : mis à part la télévision, beaucoup de silence dans les environs et dehors, une canicule qui m'a fait fuir le balcon.

Et voilà qu'aujourd'hui, le temps était plus clément à la suite du passage d'un front froid qu'on attendait tant. Pour la première fois de l'été, c'est donc à l'extérieur que je me suis attablée pour déguster deux épis dorés. 

À première vue, j'étais bonne pour un autre souper sans discussion. Puis, je me suis relevée la tête et je me suis vue. Pour vrai. Pour la première fois depuis longtemps. Pendant les 3 mois passés à maudire l'absence, je n'étais au fond pas seule. Face à moi, dans la porte vitrée, mon reflet m'a souri.

***

Pour les plus terre-à-terre qui n'ont que faire de ma poésie estivale, je tiens à confirmer que le maïs était délicieux : sucré et croquant comme on l'aime. Un souper comme celui-là, on ne peut que le conclure sur une note ensoleillée...

Crème glacée vanille et framboise de la Laiterie Chagnon, avec fraises et cantaloup du Québec.

2 août 2012

Les Éconos s'amusent... les solos aussi?

Non, vous ne rêvez pas. Vous êtes bien en train de lire un nouveau billet sur le fameux blog à succès "Les Éconos s'amusent". Après 18 mois de silence, je ne peux retenir mes élans rédactionnels plus longtemps. Il semble que malgré le fait que je passe maintenant 37.5 heures par semaine à écrire, je trouve encore quelque chose à dire une fois rendue à la maison!

Au départ, j'ai commencé ce blog en me promettant de dénicher toutes sortes d'activités à petits prix pour répondre à une préoccupation répandue, soit celle de pouvoir s'amuser sans nécessairement devoir casser sa tirelire. Cette année, je me suis particulièrement approprié cette préoccupation, ayant passé du statut de "locataire peinarde" à "propriétaire convaincue que le monde des assurances a inspiré l'auteur du film Histoire sans fin".

Vous vous demandez peut-être pourquoi le nom du blog fait maintenant référence aux citoyens qui, en plus d'être financièrement restreints, ont la caractéristique d'être solitaires. Eh bien la réponse est simple: je suis présentement plus que sympathique à cette cause, puisque le marché du travail a réquisitionné mon amoureux et que nous disposons désormais de deux plages horaires bien précises (entre 6h45 et 7h30, et entre 22h30 et 23h). Les nuits sont courtes, l'été est long, mais coudonc, la vie continue!

Bon, assez de blabla... Vous êtes des gens occupés qui aimez l'action, et je ne vous retiens pas plus longtemps. Les prochains billets seront consacrés à ce qui nous intéresse tous ici : "mais qu'y a-t-il à faire en ce bas monde pour s'amuser un peu? Dientre! " Comme je suis consciencieuse, je vous laisse tout de même quelques idées en rafale dans le coin supérieur droit de cette page! (voir "Petits trucs en rafale")

À bientôt!!!

16 janv. 2011

Ma mère chantait toujours, la la la

cette vieille chanson d'amour,
que je te chante à mon tour.

Certains lecteurs pourraient se demander ici où je veux en venir (ou comme dirait mon père, où je m'en vais avec mes skis). Mais j'ai toujours de la suite dans les idées, vous verrez...

L'autre jour j'errais sur le net, quand je suis tombée sur une promotion qui a capté mon attention. Une promotion du genre qu'on ne voit pas souvent. Les 22 et 23 janvier prochain, les grands-parents accompagnés de leurs petits-enfants entreront gratuitement au Musée McCord.

Une sortie bigénérationnelle

Cette fin de semaine particulière a été organisée dans le cadre de Jouets, une exposition conçue spécialement pour les 3 à 10 ans. Selon les affirmations du musée, cette exposition serait "interactive et ludique", ce qui permettra à la fois de capter l'attention des tout-petits et de les initier aux plaisirs des musées. Les grands-parents y trouveront également leur compte, puisque la mission du musée est de préserver et mettre en valeur l'histoire canadienne. Ainsi, l'exposition présente une collection de jouets parmi les plus importantes au Canada et dont l'origine remontent parfois même jusqu'au 19e siècle. Souvenirs en perspective...

Poursuivons sur cette piste de réflexion

L'idée d'ouvrir les portes du musée dans le cadre d'une telle exposition m'a beaucoup plue. Non seulement encourage-t-on les différentes générations à partager une activité ensemble, mais en plus, on ouvre la porte à quelque chose de beaucoup plus précieux, soit la transmission de l'expérience familiale. L'exposition sur les jouets permettra aux grands-parents de revivre leur propre enfance et de la partager avec leurs descendants. En dehors des musées, la vie quotidienne regorge de valeurs, de traditions et de faits auxquels on aurait tout avantage à initier les plus jeunes afin d'en assurer la pérénnité.

À mes yeux de petite-fille devenue grande, ces connaissances ont une valeur inestimable, car elles me permettent de distinguer mon bagage familial de celui des autres. Grâce à ma grand-mère maternelle, je connais un rituel à reproduire à chaque 31 décembre afin d'assurer la prospérité pour l'année à venir. De ma grand-mère paternelle, j'ai hérité d'une recette de biscuits en forme de symbole de jeu de carte et garni d'une confiture aux raisins secs. Au fond, ce n'est pas grand chose, mais ça fait partie de moi. Et je prends plaisir à les perpétuer.

Voilà donc où je voulais en venir.


Et puis un jour,
tu la chanteras à ton tour,
en souvenir de moi.

31 déc. 2010

Et si on sortait... du pays


Mercredi 29 décembre. En plein coeur d'une semaine de vacances (vive les Fêtes de fin d'année), un petit répit s'annonce à mon agenda pourtant chargé. Je ne peux me décider entre les deux options qui s'offrent à moi : faire ou ne rien faire? Finalement, la première l'emporte. Sitôt la question 1 réglée, la question 2 se manifeste avec plus d'ardeur: oui mais que faire?

En cette journée nuageuse, trois critères orientent notre choix:
1-partir pour une escapade d'une journée;
2-rentabiliser les quelques 80$ remis en échange de nos passeports;
3-mais surtout, passer un moment plaisant dans un endroit charmant.

Quelques préparatifs improvisés plus tard (Google Maps, plein d'essence et de dollars US), nous sommes prêts.

Destination : Burlington, Vermont

De Montréal, il faut compter environ 140 km pour arriver sur place, soit l'équivalent du trajet jusqu'à Trois-Rivières. En route, nous nous sommes arrêtés à Alburgh dans un mini centre d'information touristique. Le préposé nous a suggéré de suivre la route 2 qui circule à travers les îles du Lac Champlain (les touristes sont généralement fanatiques des routes panoramiques). Malheureusement pour nous, les nuages ne nous ont pas permis d'apprécier le trajet à sa juste valeur, mais nous avons tout de même pu imaginer la splendeur du paysage en saison estivale. Au moment de sortir du centre, je demande au préposé si nous lui devons quelque chose: "No, not at all. It's our job to help you during your stay. We're just happy to have you here". Déjà, le ton de la journée était donné...

Quelques découvertes

D'abord, le stationnement, de par son accessibilité (il y a plusieurs sites publics dans la ville) et son tarif (au moins deux d'entre eux offrent les deux premières heures gratuitement). Ensuite, le point de vue sur le Lac Champlain, depuis le Waterfront Park, sorte de belvédaire d'une longueur de près de 500 mètres.


Puis, on retourne vers la ville pour rejoindre le Church Street Market Place, une rue piétonnière où l'on retrouve de jolies boutiques (on peut entre autre y acquérir des livres neufs et usagés, des bijoux et même des articles variés aux couleurs des équipes sportives de l'Université du Vermont), de bons restos et même un Macy's (centre commercial prisé des amateurs de shopping). Parmi nos coups de coeur, mentionnons entre autre le Ken's Pizza qui vend des pointes à 2,75$ l'unité. La pâte est à la fois tendre et croustillante et la sauce, savoureuse. Un excellent gueuleton de mi-après-midi!

Juste à côté, nous avons découvert les délicieux chocolats chauds du Lake Champlain Chocolates. Après avoir évalué les diverses sortes, nous avons finalement opté pour Aztec, un chocolat chaud épicé à la cannelle et au piment de cayenne. "Oh my God!", nous exclamâmes (l'utilisation de la formule anglophone ici était nécessaire, non pas pour passer inaperçus parmi nos voisins du sud, mais bien pour souligner l'impact de la saveur sur la langue). Nous avons continué notre chemin, toujours estomaqués du liquide sucré que nous venions de goûter. Au retour, n'en pouvant plus, nous y avons fait un deuxième arrêt afin de nous procurer un mélange à rapporter à la maison. Comme nous ne pouvions nous décider entre Aztec et Chai, la préposée a gentiment offert de nous faire goûter la seconde saveur pour mieux éclairer notre choix. C'est Aztec a finalement fait le chemin du retour avec nous...

À la tombée du jour, la rue piétonnière s'est illuminée, la transformant ainsi en décor parfait pour cette période des Fêtes.


Pour conclure la journée, nous avons choisi un pub irlandais, le Rí Rá. La serveuse, un peu survoltée, nous a fait sentir à l'aise dès notre arrivée. Au menu: des spéciaux sur la bière bien sûr, mais aussi des journées thématiques, grâce auxquelles nous avons eu droit à des burgers à moitié prix! J'aime bien l'ambiance des pubs irlandais. D'un côté, l'omniprésence du bois, le choix des couleurs et les lumières tamisées en font un lieu propice pour relaxer et apprécier le moment présent. De l'autre côté, la ligne qui nous sépare de la fête et du plaisir y est bien mince, que ce soit par la musique ou la rediffusion de matchs sportifs.
Bien calée dans ma banquette, j'observais les lieux en attendant mon assiette. Sur le mur, une plaque de métal me laissait songeuse. Oui, définitivement, cette phrase toute simple est celle qui conclut le mieux un billet sur une escapade au Vermont.

27 déc. 2010

Qui évite la dépense mérite une récompense

(proverbe jusqu'ici inconnu)

J'attendais le mois de décembre avec impatience... Non pas pour célébrer la Nativité (j'avoue que les deux derniers billets pouvaient laisser présager le contraire). En fait, sur la dernière page de mon calendrier 2010, deux dates étaient encerclées double-trait-marqueur-rouge : les 9 et 20 décembre, deux spectacles à grand déploiement, dont la démarche artistique se situe aux antipodes, mais que j'attendais avec autant de fébrilité. Puisqu'on a le temps (c'est les vacances), remettons-nous en contexte.

Flashback

Juin 2010. J'ouvre ma boîte de courriels, emcombrée comme d'habitude par des pubs en tout genre. Je commence à faire le tri. Stokes fait sa 63e mégavente de la semaine... delete (au risque de soulever l'ire des lecteurs, j'avoue aujourd'hui que je n'ai jamais pris la peine de modifier la langue d'aucune de mes boîtes de courriels). Suivant: 80% off on your next Viagra order... DELETE! Qu'est-ce que je vais encore découvrir: Prévente des billets de Quidam du Cirque du Soleil par Evenko... Ooohh! En voilà une bonne idée! Deux cents et quelques dollars plus tard, j'ai la confirmation que je serai au Centre Bell le 20 décembre prochain. C'est cher payé, mais je n'y suis encore jamais allée et on en entend tellement parler. Et à quelques jours de Noël, ce sera magique!

Octobre 2010. Je reviens paisiblement à la maison, après une autre journée de travail (faut bien rembourser la carte de crédit qui a permis l'acquisition des fameux billets du mois de juin!). Mon cher amoureux m'accueille, tout sourire : "Devine quoi! Rammstein passera par Montréal le 9 décembre pour la première fois en dix ans!!!" Depuis le temps que j'attends ce moment, impossible de manquer l'occasion, d'autant plus que la réputation des prestations sur scène du groupe n'est plus à refaire. Du son, des lumières, du feu, des explosions, un homme-torche, en veux-tu en v'là! Mais vous devez vous en doutez, un groupe étranger qui se déplace une fois par décennie ne vend pas non plus ses billets à rabais...


Suis-je bien sur le blog des Éconos?

La réponse est oui. Économiser, ce n'est pas toujours facile, car ça demande souvent de la réflexion (en ai-je vraiment besoin?) et de la retenue (j'aimerais ça moi aussi, avoir un 4X4 flambant neuf, avec un moteur puissant et un système de son qui attire l'attention... mais bon, un bref retour à la question précédente et je range mon porte-monnaie). Tout ça pour dire que pour maintenir le cap vers un objectif monétaire, il faut aussi se prévoir un budget pour les petites folies, question de faire baisser la pression de la soupape.


Bien que je sois généralement plus que raisonnable en ce qui a trait aux dépenses, je n'ai pas regretté un seul instant d'avoir acquis les billets pour assister à ces deux événements. Alors que le premier groupe est réputé pour mettre en scène le "beau" et susciter l'émerveillement, le second cherche plutôt à provoquer par des images chocs (voir ci-dessus pour un aperçu) et des performances inédites. Dans un cas comme dans l'autre, la recherche de l'esthétique parfait pour perpétuer l'image voulue donne des résultats époustouflants et amène le spectateur à vivre des émotions qui survivront bien au-delà de la durée du spectacle. Après tout, on ne vit qu'une seule fois.

5 déc. 2010

L'esprit des fêtes en plein coeur de Longueuil

Samedi dernier, nous avons bravé le froid et nous sommes allés visiter le Marché de Noël & des Traditions de Longueuil. Je ne m'attarderai pas trop longtemps sur le sujet, puisqu'il en a été question dans le billet précédent, mais je voulais toutefois vous faire part de mon appréciation de l'événement.

Le chemin qui mène au Parc St-Mark (Vieux-Longueuil) a assurément de quoi plaire aux visiteurs: le quartier regorge de petits restos sympathiques et la Ville a pris le soin de fermer ses parcomètres pour la période des Fêtes (Rive sud: 1, Montréal: 0). Une fois sur place, difficile de ne pas être charmé par ce marché aux allures de village (chaque petite cabane abritant un artisan).



Mis à part la visite des kiosques, quelques activités incitent les visiteurs à y étirer leur séjour: un petit train fait monter les enfants à son bord; le Père Noël siège bien en vue dans la rotonde et des spectacles de danse folklorique ont lieu sur une petite scène aménagée au centre du parc. Pour se réchauffer un peu (grelotter en portant un gobelet de dégustation à sa bouche diminue sérieusement les chances de réussite), nous avons décidé d'entrer dans la jolie petite chapelle St-Mark.



À l'intérieur, une chanteuse et une pianiste, toutes deux agées de 16 ans, enchaînaient les airs traditionnels. Et c'était très beau. Au moment de terminer Adeste Fideles, je me suis même surprise à être émue par ce célèbre cantique interpreté par la voix cristalline de la jeune fille dans une chapelle à peine assez grande pour accueillir une cinquante de personnes. J'ai eu l'impression d'y vivre un moment vraiment sincère. Semble-t-il que les airs de Noël, on peut les entendre ailleurs qu'au Canadian Tire le 30 novembre, devant l'étalage des poincettias en plastique et des boules de Noël à 4 pour 12$... Mon cynisme en a pris un coup.

Marché de Noël et des Traditions de Longueuil
4 au 21 décembre 2010
Vendredis (15h à 20h), samedis 11h à 20h, dimanches 11h à 19h.

29 nov. 2010

L'ambiance des fêtes hors des centres commerciaux

Le décompte final est sur le point de commencer... Dans quelques heures à peine, nous tournerons une autre page du calendrier, la dernière de l'année 2010. Décembre, plus que tout autre mois, a cette particularité de stimuler notre désir non seulement de perpétuer les traditions, mais aussi de renouer avec celles qui se sont perdues au fil du temps. Outre le calendrier de l'Avent (et ses chocolats), ma préférée est sans nul doute les marchés de Noël, lieux par excellence de découvertes et de rencontres sociales.


Saveurs, couleurs et bonheur

Pour ceux qui n'auraient jamais mis le pied dans un tel endroit, voici quelques raisons de s'y déplacer. Tout d'abord, l'ambiance d'un marché de Noël est par définition festive : on y croise des passants souriants et des artisans fiers de partager le fruit de leur travail (huile sur toile, verre soufflé, sculpture, poterie, bijoux, etc.). un excellent moyen donc de dénicher des cadeaux originaux, quoique parfois un peu dispendieux. Règle générale, il est aussi possible de s'y délecter les papilles, puisque la plupart des kiosques à vocation gastronomique partagent généreusement leurs trésors avec les participants. C'est donc l'endroit idéal pour goûter à une gamme de concoctions sucrées : biscuits, chocolats, confitures, coulis, vinaigrettes, vins, portos, hydromels, cidres de glace et j'en passe! Juste de les énumérer, j'en ai l'eau à la bouche!


Un concept qui refait surface

De plus en plus de marchés de Noël s'organisent dans la province à chaque année. À Montréal, l'événement le plus couru est bien sûr le Salon des métiers d'arts. Ce dernier a malheureusement les inconvénients de ses avantages : de retour pour une 55e année consécutive et avec plus de 400 exposants, il s'agit du plus gros événement en son genre au Québec. Il ne faut donc pas s'étonner de devoir trimer dur pour se frayer un chemin et attirer l'attention des exposants lors des périodes de pointes. Par contre, on est assurés d'y trouver une grande diversité de produits.


Nouveau de cette année, le Marché Casse-Noisette se veut beaucoup plus humble. En plein samedi après-midi, nous arrivions à circuler plutôt facilement entre les kiosques des quelques 70 exposants. Par contre, ici l'entrée a un prix: les 5$ exigés à la billeterie contribueront entre autre à permettre à des enfants issus de milieux défavorisés d'assister à l'une des représentations de Casse-Noisette présentées ce mois-ci par les Grands Ballets Canadiens. La cause est noble. Pour ce qui est de l'ambiance, on repassera...






Finalement, sachez que plusieurs autres villes tiendront des marchés de Noël au cours des prochaines semaines, notamment Longueuil (3 au 20 décembre), Québec (Vieux-Port et Vieux Québec - ce dernier étant organisée par la Communauté Allemande Québec), Hemmingford (aussi sous la thématique de la culture allemande - 4 et 5 décembre), Joliette (9 au 23 décembre), L'Assomption (2 au 23 décembre) et bien d'autres... La plupart de ces marchés ayant lieu à l'extérieur, il faudra composer avec le facteur température. Mais n'est-ce pas un peu le fondement même de l'authenticité de ces événements?