16 juin 2010

Un peu d'air frais et beaucoup de fraises!

Il fait beau et vous êtes mûrs pour une balade loin du béton, des foules et de la circulation dense causée par la construction. Si vous disposez d'une voiture, c'est le temps d'aller explorer les régions environnantes, puisque les fraises aussi sont mûres et n'attendent qu'un coup de main pour se retrouver dans votre assiette!

Un plaisir simple, mais ô combien satisfaisant

On s'entend, l'autocueillette de fruits n'est pas l'activité la plus excitante en soi. Être mi-debout mi-accroupi pendant quelques heures, en plein soleil et taché de jus de fruits, on a déjà vu mieux. D'autant qu'on peut s'en procurer sans effort au supermarché du coin. Cependant, il y a quand même une satisfaction subtile qui s'installe en moi quand je me rend compte que les fraises dans mon casseau sont définitivement les plus belles du champs (tant pis pour les suivants!). Sans compter que ça me donne l'occasion de perpétuer une importante tradition inculquée par ma chère mère : chaque séance d'autocueillette doit être récompensée par une quantité de fruits à déterminée et consommée in situ. L'après cueillette n'est pas à négliger non plus, puisqu'une foule d'options s'offrent ensuite : fraises natures, dans les céréales du matin, en shortcakes, en milkshakes, en mousse,... Bref, quand on aime un aliment, il y a peu de limites aux usages qu'on peut en faire, un peu comme cette scène du film Forrest Gump dans laquelle Bubba énumérait à Forrest toutes les possibilités culinaires liées aux crevettes.

D'accord, mais où?

Les régions entourant Montréal regorgent de lieux où il est possible de partir soi-même en quête du fruit parfait. Une petite recherche effectuée sur Google vous permettra de trouver le champs qui vous convient, que ce soit sur la rive nord, à Laval (voir le site Saveurs de Laval pour plusieurs adresses utiles) ou en Montérégie. Lorsque je suis allée à la Fête du chocolat de Bromont il y a quelques semaines, j'ai fait un petit arrêt au kiosque de la ferme Les fraises de Louis Hébert afin de déguster un moût et une liqueur de fraises tout à fait délicieux. J'y ai aussi appris qu'on peut se procurer leurs produits directement sur place (à environ 45 minutes de Montréal) et qu'ils ouvrent leurs champs au public (avis à ceux qui aiment avoir l'opportunité de faire d'une pierre deux coups!).

2 commentaires:

  1. Ma mère aussi se bourre la fraise dans les champs de fruits!!! C'est amusant à faire..surtout en groupe d'au moins deux, parce que tout seul c'est quand même long. Il y a aussi la ferme Quinn qui est vraiment pas loin d'ici, c'est à l'Ile-Perrot. Dans la plupart de ces endroits, on peut cueillir beaucoup de choses. Alors l'activité ne se termine pas avec les fraises!

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  2. Effectivement! Ce sera d'ailleurs le temps des framboises et des bleuets en juillet!

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